jeudi 17 décembre 2015

Et si on cassait le mythe du bonheur

A chaque anniversaire, nouvelle année, on souhaite à nos proches de belles choses pour l'occasion: santé, amour, richesse, voyages, découvertes et autres. 
En cette fin d'année 2015, on fixe nos objectifs, nos désirs pour les prochains mois. 

Parenthèse: j'ai participé au meet up de Ask Diana sur le sujet New Me or Am I enough? Superbe moment d'échanges et rencontres autour d'un café et pâtisseries en cette mi-décembre dans un café que j'ai découvert, Café Cantinova sur St Ambroise. 

Personnellement, j'attache beaucoup d'importance à l'épanouissement, au bonheur. 
Voila le GRAND mot est sorti: le bonheur. Je le dis à chaque fois: "Des moments de bonheur pour toi" 
Pourquoi est ce considéré comme un grand mot? Car qui peut dire avoir déjà joui d'un état de complète satisfaction ( telle est sa définition dans le dictionnaire) ?
La satisfaction est une émotion, donc dépendante de tant de paramètres, que dire qu'elle peut durer dans le temps est un doux rêve.

Pourtant je me suis souvent positionnée dans cet état et je le fais toujours. Et on me l'a reproché.

Et bien, oui je me sens heureuse, j'ai connu de nombreux états de complète satisfaction. Quand je pense au passé, je ne me souviens que des moments de bonheur.
Et vous savez pourquoi? Je prends l'ensemble plutôt que les petits désagréments.  Je suis reconnaissante pour la chance et les dons que la vie m'a donné et continue de m'offrir.

Quand je pense aux moments de tristesse, je pense aux gestes de bonté qui ont suivi. Comme ce jour où je pleurais dans le métro et une femme m'a tendue son paquet de mouchoirs et m'a sourit en disant " ça va aller, mademoiselle"

J"ai bien sûr en tête la situation humanitaire, environnementale de notre monde, aux combats à mener. Mais ces problèmes me stimulent, me donnent l'envie de vivre: il y a tant à faire, tant de combats auxquels je peux apporter ma contribution.

Parfois les Hommes me dégoutent par leurs actions, me déçoivent par leurs propos. C'est inévitable, mais je préfère me concentrer sur ceux qui luttent quotidiennement pour améliorer notre monde. Et leur envoyer mes ondes positives.

Appelez- moi une optimisme. Pour moi, on choisit d'être heureux.
Bien sûr, cela est rendue possible par des fondements solides: l'amour inconditionnel de ma famille, leur soutien et leur présence dans ma vie. 

J'ai connaissance des conditions de vie de certaines de mes compatriotes, et les miennes me permettent de m'épanouir.

Alors je suis heureuse d'être, heureuse de pouvoir m'exprimer, heureuse de la musique dans mes oreilles. Et heureuse si je peux rendre, donner un peu de tout ce que je reçois. 

Le bonheur est atteignable, à nous de se rendre compte de la chance que nous avons et de le distribuer. 

Comme Zora, sourions et bénissons chaque instant :)

Soyez heureux, c'est ce que je vous souhaite sincèrement 




vendredi 16 octobre 2015

Et si on posait ses valises

Un jour,  un inconnu m'a dit à une soirée: "Ton groupe de relations, tu peux le reconstituer qu'importe l'endroit". Nous avions une conversation des plus banales, dans le cas d'une première rencontre. Pourtant, sa phrase anodine semble avoir une répercussion sur mes choix à long terme. 
Ce n'est pas parce qu'elle venait de lui, ni de sa formulation exceptionnelle, mais c'est le moment où ses paroles ont été entendues par moi. 

C'est insensé, comme parfois des événements superficiels ont des répercussions qu'on n'imagine pas, nous affecte au plus profond de nous.
Un déclic. Voilà ce qui nous arrive. Comme une lumière blanche qui nous éclaire, une révélation. (Je regarde trop de séries, je crois)
Je pense souvent à NVB qui explique comment l'arrivée au second tour de Le Pen l'a poussé à s'engager dans la politique. Certes, il s'agit d'un évènement politique d'ampleur national mais cet évènement n'a pas eu le même impact sur toute sa génération, ni la population française. 

Je réalise de ma perméabilité au monde: toutes les petites choses, les petits gestes, ces petits riens qui viennent de ces humains m'ont inspiré, porté à plus. 
Nous vivons ensemble, nous nous influençons sans en être forcément conscient du lien, de la relation que nous avons avec cet inconnu avec qui nous partageons une fraction de secondes. 

Alors merci, merci d'être, car sans le savoir, vous êtes les protons, les neutrons de mon existence. 







jeudi 27 août 2015

Et si on voyait les relations différemment


C'est cette vidéo de Steve Harvey, l'homme derrière "Think like a man, act like a lady" qui m'a interpellé dans mes flâneries estivales. Son livre je l'ai pris comme une bible afin d'améliorer mes relations sentimentales, mais qui d'ailleurs ne s'est pas relevé très utile. Mais là n'est pas le propos.

Steve Harvey avance qu'un homme ne fait jamais rien gratuitement et qu'en fait n'est votre ami que dans l'espoir d'une ouverture possible. Clairement, il ne veut que coucher avec vous.
Sous entendu, l'amitié inter-genre est décidée par la fille/ la femme et donc totalement unilatéral car il n'est envisagé que comme une possible relation amoureuse pour le garçon/ l'homme.

Les Hommes sont des êtres intéressés: nous rendons service pour recevoir en retour, quoique nous disons: respect, affection, argent, estime de soi, considération, admiration, amour.. Nous sommes motivés dans nos actions, c'est un fait.

Mais, en 2015, tenir des propos pareils me semblent obsolètes, comme si on me disait que la Terre était plate.

Avec l'école mixte, l'affirmation d'une sexualité autre que hétérosexuelle ( asexuel(le), homosexuel(le)...) ou encore juste l'attraction physique basique, l'amitié inter-genre a des millions d'exemples
Ma génération compte des amitiés au delà du sexe, des origines, des langues, des croyances. Avec la mondialisation, et le désir d'égalité, certaines réalités s'effacent. Existent toujours mais s'estompent.

L'être le plus proche de moi peut être un hétérosexuel, comme moi, et nous pouvons dormir ensemble sans que nous ayons des désirs de coït.
Certains mettront des si: si vous vous connaissez depuis l'enfance, si vous êtes engagés dans une autre relation, si vous tenez à votre relation et que vous ne voulez pas la gâcher,etc, etc..
Et si tout simplement, nous ne sommes pas attirés l'un vers l'autre.

L' homme n'est pas un animal qui ne voit en la femme qu'un vagin. En tout cas, je l'espère.

mardi 28 juillet 2015

Mauritius Island!

The view!
Maurice, l'île magnifique, l'île touristique.
Lieu de repos des stars anglophones mais aussi francophones! 
L'île de la terre des sept couleurs
J'en parle plus longuement sur visiterlafrique.com ==> ARTICLE
Je vais en profiter pour parler de visiterlafrique, une superbe initiative! J'ai eu l'occasion de visiter certaines villes africaines, et je suis tombée en amour à Cap Town, Abidjan a été ma ville ces derniers mois, l'île Maurice aussi.
Ces villes, les gens rencontrés sont si loin des images que les médias occidentaux nous véhiculent..
Que de richesse, que de beauté. Une compléxité réduite à des préjugés.
Je ne connais pas l'Afrique, j'ai parcouru quelques villes africaines, et je compte bien ne pas m'arrêter là.
Addis Abeba sera ma prochaine destination. I keep you update :)

dimanche 19 juillet 2015

Ma maison, mes quatre murs


Découverte grâce à la playlist Spotify de la chanteuse Alessia Cara  de Here. 

Four walls, quatre murs, ce qui définit une maison. Son chez soi.

Après un an en tant que SDF, Sans Domicile Fixe, cette conception de mon chez moi, de mes quatre murs a pris un coup. 
Je me suis sentie chez moi partout où j'ai été. J'y avais mes habitudes, un lit confortable et mes trois  valises. ET une connexion internet. Car oui, je me suis sentie chez moi car je pouvais parler quotidiennement à ma famille, mes amis tout en découvrant d'autres parties du monde. 

Quand j'ai dû faire mes trois valises, je me demandais comment j'allais faire pour vivre avec 53 kilos.. 
Mes souvenirs d'instant, cadeaux en tout genre, vêtements, sacs, chaussures, bijoux.. Mes objets. 
Mes 23 ans sur la planète, tout mon appartement, mes 5 ans sur Paris.. Tout ça devait peser 53 kilos. Les compagnies aériennes et mon portefeuille en avaient décidé ainsi ou m'y avaient contraint. Avec le temps, la réalité se distorsionne. 

Et bien, j'ai trié, sélectionné, donné, vendu et empaqueté mes 53 kilos avec moi. Depuis, j'ai accumulé partout où j'ai été (Je suis un être humain tout à fait normal) : vêtements, bijoux, chaussures, cadeaux en tout genre, de nouveaux souvenirs d'instant. Alors je trie, donne, vends régulièrement. 

Je n'ai pas besoin de beaucoup, en réalité. 

Aujourd'hui, je vois ma vie avec une tiny house. Comme celle-ci. De quoi continuer mes découvertes, avec mes 53 kilos ET Ma connexion internet. 
Car j'ai besoin d'un toit où vivre et de quoi être en lien avec mes proches. 

lundi 29 juin 2015

Et si MJ avait sa part de responsabilité?

Il n'y a pas si longtemps, mon fil d'actualité, les sites d'actualité étaient remplis d'articles, vidéos sur harcèlement de rue.
Je l'ai vécu à Paris et cela a participé à ma fuite. Soyons franche avec nos motivations. Je ne veux pas vivre là où je ne me sens pas en sécurité malgré mon amour inconditionnel pour Paris. Je ne m'étends pas sur le sujet.
Il y a eu des débats, des tweets, des définitions, des vidéos (encore en ce moment avec récemment M6 et la défense..)
Ces hommes pensent réellement qu'ils nous plaisent, qu'ils pourront séduire dans la rue une femme en l'insultant, en la suivant dans une ruelle sombre..
Mais en fait, ce n'est pas la faute à notre génération. On a grandi en admirant MJ, avec ses clips, en les imitant.
Il a faussé la donne, il a dupé la jeunesse.
Non, la fille n'est pas flattée quand tu la suis, quand tu lui cries après et quand tu te touches devant elle.
C'est de la fiction!!!
J'espère que certaines de ces personnes liront ce billet et comprendront: MJ était un génie mais ça ne fonctionne pas comme ça pour séduire une fille. Prenez par exemple la vidéo qui suit, comme un CONTRE EXEMPLE de la séduction :)
Peace and enjoy music

dimanche 8 mars 2015

Et si on s'attardait sur ces femmes

Longtemps, je me suis dit que j'aurais dû être un homme.

Etre un garçon rimait avec pouvoir, indépendance, carrières prometteuses, mais surtout avec liberté.

Déjà enfant, je voyais la différence entre mon cousin et moi: les bêtises, les écarts de conduite lui étaient plus facilement pardonnés. 

Monter dans les arbres, voler des fruits, tuer des animaux, se battre étaient perçus comme des actions qui lui forgeaient son caractère.

A moi, on me demandait d'aider en cuisine plus fréquemment, de cacher mes blessures ( signes de mes exploits selon moi), et surtout notre impertinence était traité à deux niveaux: preuve de vivacité d'esprit pour l'un et d'insolence pour l'autre. 
Tout ceci confortait mon sentiment: j'aurais dû être un garçon. 

Récemment, un ami proche m'a dit, comme si c'était une sorte de compliment: " si tu étais un homme, tu serais plus écoutée et plus respectée"


Mais en quoi mon sexe me discrédite aux regards des gens, en quoi  mes organes peuvent influencer la perception qu'on a de moi? 

Nous sommes en 2015, et hier encore j'entendais un ingénieur me dire qu'il ne voulait pas engager de femmes dans sa boîte à cause des congés maternité ou me dire que nombre de femmes avaient des promotions canapés. 

Comme quoi, recevoir une éducation scolaire ne veut rien dire. Quelle est la solution? 

Heureusement, à mon adolescence une femme s'est imposée dans la construction de ma personne.

La femme qui m'a apprise à m'aimer, à m'accepter, c'est ma mère. C'est mon premier modèle. Elle m'a prouvé par son combat professionnel quotidien que c'était dure, pas évident mais la réussite avait plus de goût, la fierté décuplée.

D'autres ont consolidé mes idées, mon acceptation de moi. La plus importante, autre que ma mère: Maya Angelou.

Cette femme, je l'ai connu au détour de la bibliothèque municipale. Et elle est devenu une évidence. Ses poèmes, son parcours m'enrichissent. 




Puis Chimamanda  Adiche distille dans ses livres, ses interviews des concepts dans lesquels je me retrouve.  Celui-ci est le plus connu car repris par Beyoncé dans son titre Flawless
Dans une interview à une journaliste allemande, elle a affirmé que Obama n'aurait pas gagné si son épouse était nappy..  N'est pas d'accord qui veut mais c'est une audace que j'admire 


Voici deux discours de deux femmes dont j'admire alors je partage.

En ce 8 mars 2015, bonne fête aux femmes: auteures, professeures, doctoresses, battantes du quotidien
Du courage, car même la Bible le dit: Les femmes souffriront toujours..




samedi 28 février 2015

Et si on partait?

Il y a exactement 18 mois, je prennais la décision de partir.
Partir mais aussi:
De quitter ma zone de confort: mes amis, mes habitudes, mon école, ma ville, l'assurance d'une vie traçée.
De laisser derrière moi Paris qui m'avait apporté tant.
De tout recommencer.
D'affronter ma peur de la solitude.
De me confronter à d'autres lifestyle


J'ai fait comme beaucoup d'étudiants: j'ai profité des stages, semestres d'études pour m'envoler et découvrir de nouveaux horizons. Habiter ailleurs pour des périodes définies.

La première étape a été de me dire où?

Parce qu'il faut choisir une destination, je me dis qu'importe où je serai je trouverai du travail.

Pour les stages, je voulais des pays intéressants et en boom économique alors j'ai choisi l'Ile Maurice ( l'île paradisiaque par excellence pour tout vacancier en mal de plages) et la Côte d'Ivoire ( pays du cacao, de l'hévéa, du coton, de la noix de cajou, aux milles richesses donc et aussi aux plages impressionnantes)
Pour le semestre d'étude, j'ai tapé dans le classique: Le Canada. Eh oui, on rêve tous un peu d'un campus américain. La qualité de l'enseignement est excellente, j'ai découvert un système où mes professeurs m'encourageaint, me soutenaient.
Après avoir fait une prépa, rendez vous compte du fossé..
Prochaine étape? Je ne sais pas mais une rétrospective s'impose

Je vous propose dans les trois prochains articles de vous faire partir là où j'ai vécu.



samedi 21 février 2015

Faada Freddy: Merveilleux, Fantastique

Lors d'une de ses interviews, Faada Freddy disait que tout est musique, que la spiritualité l'inspire.
Son album Gospel Journey m'a emmené loin: sa voix, les voix qui l'accompagnent, les paroles, le rythme.
A découvrir vite!
Mais il a aussi Mr Jidenna lancé par personne d'autre que Janelle Monaé!
Où se cachent les hommes classes? Les hommes qui chantent, dansent, se comportent comme ça! Ils sont ou?

vendredi 13 février 2015

When did I fall in love wirth Hip Hop

Vous avez déjà parlé de mon amour pour la musique?


 J'ai introduit le sujet: le Rap


 Dans ma vie, il n'y a pas un moment où les mélodies n'ont pas leur place
 Les notes sont les reflets de mon âme. Elles tendent le plus à une reflexion parfaite, plus que mes mots, mes actions.
 Je me rends réellement compte que je suis affectée par une situation quand j'écoute une chanson relatif au sujet.

Comme si mon inconscient avait trouvé ce biais de communication avec mon moi. La mélomanie, telle est ma maladie!

Les Nubians l'ont si bien dit, décrit.



 Je vous prie de me faire partager vos artistes coup de coeur!

Je ne vis que sur Spotify, à la recherche de l'artiste!



 Le titre est une référence à un film romantique que plusieurs parisiennes ont pu voir en salle: Brown Sugar

jeudi 5 février 2015

Apparently

Découverte musicale de la semaine: MNEK
Il a ce style des années 80. Cette chanson d'ailleurs me fait penser à "I wanna to sex you up" de Color Me Badd
Et le style à la Fresh Prince..
J'aurais aimé être né dans les années 70 pour être une adolescente durant cette période. Être comme Moesha.. Petite, je vous assure qu'elle était ma référence: j'aimais son style, son assurance et sa manière d'écrire. Bon n'oublions pas son copain...
Et puis, ce fut l'une des rares séries à laquelle j'ai pu m'identifier, avec le Cosby Show


mardi 27 janvier 2015

Et si on tombait amoureux?

C'est le thème abordé par tous: L'Amour.
C'est l'objectif de combien parmi nous: être aimé(e) et amoureux.
Avec la mort, il semble être inévitable et tout à fait naturel.

Mais c'est faux.

Il existe des êtres qui aiment sans pour autant être amoureux. Surtout dans notre génération, combien "fréquentent"/ "ont des sex friends/ Plan cul"?
L'attachement est perçu comme la pire des damnations, l'emprisonnement de sa personne. Moustaki expliquait déjà en chantant il y a 40 ans que l'Amour le privait de sa liberté . A apprécier.

Quelle est la distinction entre les deux états à mon sens?
On l'a tous connu ce sentiment d'attirance envers cette personne, être bien avec elle, avoir ces moments de complicité qui forgent un couple. Mais étions nous  amoureux? Est ce qu'une mutuelle attirance et une certaine complicité suffisent à se dire amoureux?
Je ne pense pas. Alors quand j'ai lu cet article m'expliquant qu'en 36 questions et 4 minutes de regards allaient me rendre amoureuse, j'ai voulu tenter.  ==> ICI
Moi qui ne suis jamais tombée amoureuse, il me fallait tenter le tout pour le tout.

A l'instar de la méthode de Steve Harvey, je me suis imposée ces questions au premier rendez vous avec Mr X.

Eh bien, non je ne suis pas tombée amoureuse! J'ai apprécié ce moment de confidence avec cet individu, et ces 4 minutes furent les plus inconfortables de mon existence (j'exagère mais je me sentais plus bête qu'autre chose). Nous nous sommes revus mais disons le franchement il avait perdu tout son intérêt pour ma personne et c'était réciproque.

J'ai retrouvé, dans ces questions, plusieurs que j'ai eu l'occasion de poser à des amis, à des potentiels ou même à  des ex. Elles permettent de cerner notre interlocuteur, d'entrer dans son intimité.

J'en viens à me demander si être amoureux c'est simplement partager son jardin secret: ses pensées, ses peurs, ses convictions avec l'autre, sa vulnérabilité. Faire preuve de confiance.  N'est ce pas le rôle de notre ami le plus proche?  Serais je amoureuse de  chacun de mes amis hétérosexuels avec qui j'ai abordé ces sujets? Ou est passée dans ces 36 questions l'attirance physique?


vendredi 23 janvier 2015

Et si on reprenait le temps d'écrire

Mai 2012... Plus de deux ans que j'ai laissé à l'abandon mon projet de blog. 
Je voulais fixer dans le temps la personne que j'étais: mes influences, ma musique, ce qui me touchait. Partager comme des milliers d'anonymes un peu de ma personne. 
L'envie m'est revenu cette été, avec la lecture de Americanah  de la magnifique Chimamanda Ngozi ADICHIE. 
Et ces 6 mois ont été nécessaires pour sauter le pas.. 
Alors me revoilà, tout simplement. Pour partager toujours un peu de tout
Jace, artiste international